(Charles) Kushner se trouve dans un complot, avec
d’autres complices, consistant à recruter des prostituées pour séduire les
témoins qui coopéraient à une enquête fédérale.
Field
McConnell, ancien Marine des Etats-Unis
Plum City Online – (AbelDanger.net)
le 13 avril 2017
Plum City Online – (AbelDanger.net)
le 13 avril 2017
Pour
qui de droit :
Field McConnell – Marine des Etats-Unis et Directeur opérationnel monde de
Abel Danger – a établi le lien entre l’utilisation supposée par les associés de
Jamie Gorelick et de Jared Kushner, du logiciel JABS* du Département de la
Justice afin de recruter des prostituées et des clients victimes de chantage
pour des ‘rave parties’ dans une porcherie de Colombie Britannique (1996-2002),
et des donateurs de la Fondation Clinton qui semblent avoir inséré des fausses
informations dans le réseau « federal bridge** » pour dissimuler une
attaque au gaz sarin le 4 avril par les Démons*** de Serco 8(a) sur une ville
du sud d’Idlib, faussement attribuée au gouvernement Syrien.
* Joint Automated Booking System (JABS) (Système de réservation
partagé automatisé) – un
logiciel développé par Nortel Governement Solutions pour le Département de la
Justice (DOJ) pour insérer des empreintes digitales, photographies et données
biographiques dans le réseau de communication fédéral avec de faux techniciens
scientifiques de scène de crime, de faux laboratoires et de fausses identités.
**L’autorité de certification Federal
Bridge – Un réseau compromettant de chantage sexuel
apparemment mis au point par des filiales de Serco 8(a) pour les mécènes de la
Fondation Clinton permettant de synchroniser l’insertion de fausses
informations à travers les médias avec
des coups montés, des opérations de sabotage, de meurtre, de propagande et/ou
de trafic d’enfants.
***8(a) Démons – Utilisation de l’horloge de Serco pour synchroniser l’assassinat, le
sabotage ou des attentats avec des fausses victimes par des entreprises 8(a)
avec l’insertion de fausses informations par des acteurs tracés par le logiciel
de reconnaissance faciale Demon de Serco.

McConnell affirme que des complices à l’intérieur du Département de la
Justice, incluant Jamie Gorelick, la sœur de McConnell et fondatrice de ConAir
Kristine Marcy, ont entamé un programme pour « réinventer le
gouvernement » en octobre 1996 en vendant des codes d’accès principaux au
réseau fédéral et le logiciel JABS aux mécènes de Clinton, y compris le traître
condamné Charles Kushner, Citibank et l’Arabie Saoudite et, leur permettant de
ce fait de camoufler des meurtres commandités par de fausses informations
destinées à éliminer ou intimider d’éventuels ennemis mutuels, dont le
Président Syrien Bachar El-Assad.
Jared
Kushner, le mari d’Ivanka Trump et donc gendre et conseiller de Donald Trump,
est le fils de Charles Kushner (emprisonné par le procureur du New Jersey et
actuel gouverneur Chris Christie – républicain), qui a financé les Clinton et
l’ancien maire de New York Rudy Giuliani.
C’est la liquidation,
non l’intimidation qui a détruit les Tours Jumelles.
Abel Danger dispose
des preuves scientifiques du puzzle, qui expliquent pourquoi rien ne va changer
à moins que les faits ne soient rendus publics.
Serco est une société britannique employant
50 000 personnes dans le monde, spécialisée dans la prestation de services
dans les domaines de la défense, du transport, de la justice, de l’immigration,
de la santé et divers, dans quatre principales régions du monde : le
Royaume Uni et l’Europe, l’Amérique du Nord,
l’Asie-Pacifique et le Moyen-Orient. Ensemble nous apportons un monde d’expérience
sur ce que nous faisons.
Infiltration des réseaux de communication du gouvernement Américain par l’intermédiaire
des logiciels de Serco
Avec le Réseau de la Console Rouge de la Défense, court-cuité au cours de l’administration
Obama, le Président Trump et son cabinet sont abreuvés de fausses nouvelles sur
l’attentat au gaz en Syrie par les Démons de Serco 8(a) insérés dans le réseau
federal bridge.
L’ex-Ambassadeur
du Royaume Uni : Assad n’était pas l’instigateur de l’attaque chimique
Tournage d’un faux attentat en Syrie
« Poutine : Idlib était un
« coup monté » et nous avons appris qu’il y en avait d’autres de
prévus ».
Par Tyler Durden
Le 11 avril 2017 21:36
Pendant que Rex Tillerson était en route pour la Russie, il y a quelques instants,
le Président Russe Vladimir Poutine a choqué les journalistes lorsqu’il a déclaré
que la Russie avait obtenu des renseignements d’une « source de
confiance » que d’autres attaques utilisant des armes chimiques étaient en
préparation dans la région de Damas, dans le but de les imputer au gouvernement
Assad.
« Nous disposons de rapports de
sources multiples que des coups montés comme celui-ci – je ne peux les qualifier
autrement – sont en préparation dans d’autres parties de la Syrie, y compris
dans la banlieue sud de Damas. Ils prévoient de déposer des produits chimiques
là-bas et d’accuser le gouvernement Syrien de cet attentat », a-t-il
déclaré lors d’une conférence de presse commune avec le Président Italien
Sergio Mattarella à Moscou.
Le Président Russe a annoncé que la Russie allait officiellement demander
au TPI (Tribunal Pénal International) de La Haye de procéder à une enquête sur
les armes chimiques utilisées à Idlib. Moscou a écarté toute hypothèse que le
gouvernement Syrien qu’il soutient serait à l’origine de l’attaque dans la
province d’Idlib.
« Tous les évènements
concernant les ‘attaques chimiques’ qui ont eu lieu à Idlib doivent faire
l’objet d’une enquête minutieuse », a déclaré Poutine.
Damas a nié ces insinuations, en faisant remarquer que le secteur visé
pourrait avoir été un lieu de stockage d’armes chimiques appartenant à l’Etat
Islamique (EI, anciennement EIIS/EIIL) ou aux djihadistes du Front Al-Nusra.
L’incident n’a pas fait l’objet d’une enquête précise pour le moment, mais
les Etats-Unis ont tiré des douzaines de missiles de croisière sur une base
aérienne Syrienne pour démontrer leur force concernant ce qui été qualifié comme une attaque chimique par Damas.
Poutine a également souligné que les dernières frappes de missiles
américains en Syrie remettent en mémoire le discours des Etats-Unis adressé en
2003 au Conseil de Sécurité des Nations Unies et qui a entraîné l’invasion de
l’Irak, un discours qui a depuis été soigneusement analysé comme étant
l’utilisation de fausses informations permettant d’obtenir le soutien mondial d’une
invasion.
« Le Président Mattarella et
moi avons discuté de ce sujet, et je lui ai dit que cela me rappelait fortement
les évènements de 2003, lorsque les représentants des Etats-Unis montraient en
séance du Conseil de Sécurité des Nations Unies les présumées armes chimiques découvertes
en Irak. L’offensive militaire qui a ensuite été lancée en Irak s’est soldée
par la dévastation de ce pays, provoqué l’augmentation de la menace terroriste
et l’apparition de l’Etat Islamique (EI, anciennement EIIL) sur la scène
mondiale », a-t-il ajouté.
Le Président Russe a également condamné l’attaque d’Idlib, en la dénonçant
officiellement comme un « coup monté ».
Poutine a également dit qu’il n’y avait aucune réunion de prévue avec Rex
Tillerson.
A la suite de la déclaration de Poutine, l’état-major général Russe a
publié un communiqué annonçant qu’il disposait d’informations concernant des
militants ayant transporté des substances toxiques vers les secteurs de Khan
Cheikoun, à l’Ouest d’Alep et à l’Est de Gouta en Syrie.
Le chef de la Direction opérationnelle de l’état-major général Russe, le
Colonel Serguei Rudskoy, a affirmé que les militants essayaient de provoquer de
nouvelles accusations contre le gouvernement Syrien pour l’utilisation supposée
d’armes chimiques. Les militants visent à inciter les Etats-Unis à mener de
nouvelles frappes, a prévenu Rudskoy, en ajoutant que ce genre de mesures est intolérable.
Il a déclaré que selon l’état-major général Russe, de nouvelles frappes
aériennes Américaines en Syrie sont inacceptables et que les forces syriennes
ne disposaient pas d’armes chimiques ».
Jared
Kushner, méfiez-vous de Jamie Gorelick
Jamie
Gorelick, la Maîtresse du Désastre
Il n’est pas
fréquent qu’une personne joue un rôle crucial dans deux - faites le compte,
deux – catastrophes d’un coût de milliers de milliards de dollars. Bienvenue,
mes amis, dans le monde de la très influente Démocrate Jamie Gorelick
Par Jack Cashill
Plusieurs de mes alliés de Washington ont remarqué une information
apparemment anodine dans un article du Washington Post de lundi, qu’ils
pensaient que je devrais voir. L’article concernait la nomination de Jared
Kushner en tant que conseiller de son beau-père Donald Trump.
Ce n’est pas la nomination qui a perturbé mes amis. Ce qui les a perturbés
était que le Washington Post mentionnait que l’avocate de Kushner n’était autre
que Jamie Gorelick, qui était procureur général adjoint sous le Président Clinton.
Le W. Post observait que Gorelick « était confiante dans le fait que le
statut d’anti-népotisme ne concernait pas la nomination de Kushner par
Trump ».
Le Népotisme constituait l’objet de cet article. Le W. Post ne faisait
nullement allusion aux préoccupations que mes amis et moi entretenions sur
cette relation. Je leur ai assuré que Kushner ne connaissait probablement pas
les antécédents de Gorelick. J’écris ceci pour le mettre au courant de la
raison pour laquelle les bloggeurs ont choisi d’appeler Gorelick : la
« Maîtresse du Désastre ».
Quelques
révélations récentes.
En 2014, il a été révélé que l’Urban
Institute financé par George Soros avait un rôle officiellement reconnu
dans le contrôle des organismes à but non-lucratif qui cherchaient à obtenir le
statut d’exemption fiscale de la part de l’IRS. (Trésor Public – Impôts sur le Revenu). Gorelick était la vice-présidente du conseil d’administration de l’Urban
Institute.
En 2011, elle représentait l’Université Duke pour tenter d’étouffer une plainte
de la part de membres de l’équipe de lacrosse dont les vies avaient été
bouleversées par de fausses accusations de viol que l’université avait
favorisées et encouragées.
En 2010, Gorelick représentait BP dans le bourbier de la marée noire de la
plateforme pétrolière Deepwater Horizon. Mais il y a pire, bien pire.
En 1993, en qualité de procureur général adjoint sous le Président Clinton,
Gorelick faisait fonction de « commandant sur le terrain » pour
l’horrible assaut du gouvernement sur une communauté religieuse de Waco, Texas,
qui a causé la mort de plus de quatre-vingt personnes, dont vingt enfants.
En 1995, elle a rédigé l’infâme circulaire sur le « cloisonnement » qui a
empêché le FBI et la CIA de partager des informations lors de la répétition en
vue du 11 septembre (lors du premier attentat sur les Tours Jumelles). A ce
moment-là, un enquêteur désemparé du FBI a écrit un mémo à son siège qui
comprenait la phrase : « Un jour quelqu’un va mourir – et
cloisonnement ou non – le public ne comprendra pas pourquoi nous n’avons pas
été plus efficaces ».
En 1996, Gorelick est montée en puissance, assumant un rôle décisif dans
l’enquête sur la catastrophe du Vol 800 de la TWA. Il s’agissait du Boeing 747
qui a explosé sans explications au large de la côte de Long Island en juillet
1996, causant la mort de 230 personnes. (Selon
certaines rumeurs, l’avion aurait été abattu par un missile tiré d’un
sous-marin Israélien, NdT).
En tant que procureur général adjoint servant sous une Janet Reno
incompétente, la mission de Gorelick était de régenter le FBI. Après cinq
semaines d’enquête, elle a convoqué le ponte du FBI Jim Kallstrom à Washington
pour lui administrer une bonne dose de réalisme politique. Assurément, aucun
compte-rendu de la réunion du 22 août ne contient autre chose que des détails
de routine, mais les comportements ont commencé à changer immédiatement après.
Le FBI avait déjà commencé à faire fuiter au New York Times des
informations qui se traduiraient par la manchette du 23 août, en haut à droite :
« Les premières preuves laissent entendre qu’un appareil a explosé depuis
la cabine du Vol 800 ». Cet article a fait diversion sur la tempête
déclenchée par l’accord sur la réforme de la sécurité sociale en vue de
l’élection dans un article du même jour, ce qui menaçait de saper le message de
paix et de prospérité de la Convention Nationale Démocrate de la semaine
suivante.
Ce qui s’est produit au cours des quelques semaines suivantes a été la
dissimulation la plus ambitieuse et la plus réussie en temps de paix de l’histoire
américaine. Au cœur de cette affaire il y
a Gorelick. Avec la complicité des médias et la participation active de
la CIA, elle et ses acolytes ont transformé une frappe de missile évidente, en
une panne mécanique d’origine indéterminée.
En raison de son rôle, les mois qui ont suivi le crash ont été
émotionnellement éprouvants. En mai 1997, les Clinton semblent avoir récompensé
Gorelick pour son impeccable prestation en lui fournissant un emploi qui lui a
rapporté 877 573 $ rien qu’au cours du premier semestre qui a suivi.
Concernant une recherche de probité, aucun journaliste ne s’est même jamais
posé la question de savoir pourquoi une bureaucrate de niveau intermédiaire sans
expérience de la finance ni du marché immobilier aurait obtenu la vice-présidence
de Fannie Mae, une sinécure que le Washington Monthly a appelé « l’équivalent
de gagner à la loterie » (en français : un « fromage » de
la République).
Six ans après, et 25,6 millions de $, ayant apporté sa contribution au délabrement
de l’économie Américaine, Gorelick a répondu une fois de plus à l’appel du
devoir en occupant un des cinq sièges réservés aux Démocrates dans la
Commission d’enquête sur le 11 septembre.
Au cours des auditions de la Commission en 2004, le Directeur de la CIA
George Tenet a mentionné pour la première fois « la cloison qui était en
place entre l’aspect criminel et la partie du renseignement ». Tenet a
fait paraître cette cloison comme impénétrable.
« Ce qui se trouve dans un
dossier criminel ne franchit pas cette ligne. Les réglementations sont
absolument étanches », a-t-il insisté. « Donc si même des gens de la
Division Criminelle et des Divisions du Renseignement du FBI ne pouvaient pas
se parler, c’était a fortiori le cas entre eux et nous ou nous et eux ».
Dans sa réponse à Tenet, Gorelick a reconnu l’existence du cloisonnement et
a prétendu avoir utilisé la « force brute » pour tenter de l’ouvrir,
mais elle n’a en rien assumé sa responsabilité dans sa création. La tâche de
lui en imputer la responsabilité est revenue au Procureur Général John
Ashcroft.
« La seule et unique plus
grande cause structurelle du 11 septembre était le cloisonnement », dit
Ashcroft. « La divulgation complète m’oblige à vous informer que son
auteur est un membre de la commission ». Cet auteur, bien sûr, était
Gorelick, la même responsable qui avait supervisé la coopération entre le FBI
et la CIA dans la corruption de l’enquête sur le crash du Vol 800 de la
TWA.
Comme le pays l’a appris à la suite du 11 septembre, le « cloisonnement »
qui a été franchi avec une grande facilité pour protéger les secrets du Vol 800
de la TWA a tenu beaucoup plus solidement lorsqu’il s’agit des secrets de nos
ennemis.
Jared, ne lui faites pas confiance ! Si besoin est, je serais heureux
de m’asseoir dans une salle de réunion avec Mme Gorelick et tirer cela au
clair ».
Traduction Française Patrick T Rev. Isabelle
Je m'appelle Sophie et j'ai 38 ans.
ReplyDeleteAprès une rupture brutale avec mon compagnon qui m'a plongée dans une dépression terrible et une envie d'en finir et après avoir dépensée des sommes incroyables avec des marabouts qui m'ont pris mon argent et sans aucuns résultats.Une amie m'a donné son site et j'ai contacté ce maitre et elle m'a redonné goût à la vie et utiliser sa magie qui m'a quand même bien aidé à un prix raisonnable en plus et aujourd'hui je voulais témoigner pour la remercier et mon nouveau compagnon qu'elle avait vue arriver enfin juste pour dire que je nage dans le bonheur et que sans elle je ne serais plus de ce monde aujourd'hui. voila son adresse email : puissantmarabout2020@outlook.fr ; et son telephone : +22952 3553 76